dimanche 8 juillet 2018
mercredi 4 juillet 2018
Procès en Appel de Khalifa Sall: Madiop diop maire de
Grand Yoff appelle à une grande mobilisation
Le maire de Grand Yoff appel
à une forte mobilisation le 9 prochain date d’ouverture du procès en appelle de
khalifa Sall. Ces partisans qui ont fait face à la presse hier au siège de la
10 coordination PS déclarent à qui veut
l’entendre que khalfa Sall sera belle est bien candidat en 2019. Pour Madiop
Diop , Macky Sall peut se le prendre pour dit rien n’empêchera khalifa d’être
candidat . « Nous disons que Khalifa Sall est libre en dehors même de
la décision rendue par la cours de justice de la CEDEAO. Parce qu’elle a dit à haute voix que la forme n’a pas été respecté , car il devait avoir un
avocat à ses cotés au moment des interrogations ce qui n’a pas été fait. Par
conséquent cette décision veut tout dire ». Selon Madiop Diop Khalifa Sall
est non pas emprisonné mais plutôt encastré en prison par Macky
Sall. « Ce qui nous intéressent nous, c’est la libération de Khalifa Sall
les 35 millions ne sont rien comparés à sa liberté. Et donc nous avons décidé
de faire une grande mobilisation le Lundi 9 Juillet au niveau du tribunal de Dakar
pour exiger la libération de Khalifa Sall car s’il reste en prison , c’est uniquement
par la volonté de Macky Sall. Mais tôt où tard il fera face à Khalifa Sall car à
beau manigancé avec la justice et le procureur acquis à sa cause, il ne pourra
y échapper ».
Alassane Baldé
Réduit à l’esclavage : les Ressortissants Mauritaniens
noire crient leur colère au Sénégal
Après l'interdiction qui leur a été faite de
tenir leur sit ing à la place de l'obélisque, les refugiés Mauritaniens basés à
Dakar se sont résolus à faire face à la presse au siège de Keur Askan Wi à
Grand Yoff. Un setting qui avait pour but de dénoncer les conditions difficiles
de vie des négro africain réduit à l'esclavage en Mauiritanie. Selon les
membres de l'Initiative pour la Résurgence du Mouvement Abolitionniste
(IRA), les negro Mauritanie sont persécutés exclus de tous en Mauritanie.
Une situation qu'ils ne sauraient accepter selon Fatima Khadija Sy Sécrétaire Générale Adjointe de L' IRA. « Nous avons
voulu à travers ce rassemblement dénoncer l’esclavage, la ségrégation raciale
voire l’exclusion qui sévit actuellement en Mauritanie. Les noire sont victime
de toutes sortes d’abus, nous avons pas le droit de circuler même au delà de 23
H au risque d’être arrêter et accuser d’agresseur. On est privé de l’Education, nous n’avons pas
le droit de travailler dans l’administration, on est privé de tous. Nous sommes
tout simplement victime de l’Apartheid ». Profitant de la visite officielle du Président Français Emmanuel
Macro en Mauritanie dans le cadre de la tenue du sommet Africain, l'IRA invite
ce dernier à saisir l'occasion pour discuter avec le Président Mauritanien sur
ces violations graves des droits des minorités noires. Ils exigent également la
libération de certains de leurs leaders incarcérés arbitrairement en Mauritanie
comme Maitailaye et Moussa Biram. L’IRA soutien que bien que cette fois leur
rassemblement a été interdit suite à une pression de l’ambassadeur de la Mauritanie,
ces refugiés se disent plus que motivés
à continuer le combat pour la libération du peuple noir en Mauritanie.
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